Coup de tonnerre dans le monde du vélo électrique : Angell Mobility rappelle tous ses vélos de première génération après la détection de cas isolés de casse du cadre. Une décision choc, mais nécessaire pour garantir la sécurité des cyclistes. Si vous possédez un de ces modèles ou connaissez quelqu’un qui en a un, lisez attentivement ce qui suit !
Quels vélos sont concernés par le rappel ?
Pas de place au doute : tous les modèles de première génération sont touchés. Que vous rouliez sur un Rapide ou un Cruiser, en tailles S ou M, et peu importe l’édition (Black, Silver, Green ou Dune), votre vélo fait partie de ceux rappelés.
Les numéros de série concernés débutent notamment par :
A1000810 / A1000881 / A1000E10 / A1008810 / A2000810 pour les modèles Rapide et A200S810 / A200SA10 / A200SB10 pour les Cruiser. Pour vérifier, jetez un œil sous le tube diagonal de votre cadre : le numéro s’y trouve.
Bonne nouvelle cependant : les modèles récents ne sont pas concernés. Si vous êtes l’heureux propriétaire d’un MINI E-Bike 1, d’un Rapide Core ou d’un Rapide +, pas de panique, ces vélos restent sur la route.
Pourquoi ce rappel et que faire si vous êtes concerné ?
Après quelques signalements de rupture de cadre, Angell Mobility a décidé de jouer la carte de la prudence. Même si les analyses techniques sont toujours en cours, la marque soupçonne un défaut potentiel dans le collage des cadres. Résultat ? Une mesure préventive qui concerne des milliers de vélos. Un geste responsable pour éviter des accidents graves.
Vous possédez un vélo concerné par ce défaut ? Stoppez tout de suite son utilisation. Oui, même si votre sortie du dimanche est tentante. La sécurité passe avant tout. Ensuite, contactez votre revendeur ou rendez-vous sur le site d’Angell pour plus d’infos. Vous pouvez aussi vous inscrire à leur liste de mise à jour pour recevoir toutes les informations en direct.
Et si votre vélo a changé de main (vendu ou donné), vous devez prévenir immédiatement le nouveau propriétaire. Le but ? Éviter qu’un cycliste non informé prenne des risques inutiles.
Angell Mobility réagit avec transparence
C’est un coup dur pour Angell Mobility qui s’efforce de gérer cette crise avec sérieux et réactivité.
John Mollanger, le directeur général, a déclaré :
« Nous faisons tout pour trouver une solution rapide et efficace. La sécurité de nos clients est notre priorité absolue. »
Une réponse qui montre leur volonté d’agir vite. Même si, pour l’instant, on ne sait pas si des vélos de remplacement seront proposés aux clients.
Pour simplifier les démarches, la marque a lancé une page dédiée où vous pouvez :
- Vérifier si votre vélo est concerné.
- Vous inscrire pour recevoir des mises à jour.
- Trouver toutes les instructions nécessaires.
Si vous êtes des assidus de notre média, cette histoire rappelle celle de Babboe.